Le saint patron des reporters, Albert Londres, fait scandale en publiant dans le journal "Le Petit Parisien" du 12 Octobre au 11 Novembre 1928 un grand reportage « Terre d’ébène » dénonçant la face cachée du colonialisme : le travail forcé et le racisme.
C'est pour répondre aux assauts du lobby colonial qu'il usa de la célèbre définition de son métier: "Porter la plume dans la plaie".
Insensible à la richesse des civilisations négro-africaines - ses propos, courants à l'époque, passeraient aujourd'hui pour racistes - il raconte avec une féroce allégresse la scandaleuse exploitation du « nègre », ce "moteur à bananes".
Routes et chemins de fer, si justement admirés, sont bâtis sans souci du coût humain: 17 000 morts pour 140 kilomètres de la ligne Congo-Océan!
"On agit comme s'ils étaient des bœufs", observe Albert Londres, qui cite un rapport officiel déplorant "la fragilité inconcevable des indigènes".
Entre la galerie de portraits et le pittoresque journal de voyage surgit l'indignation d'un homme de cœur.
A partir du 3 Septembre 2017
Patrice Kahlhoven joue seul « Terre d’ ébène » d’ Albert Londres dans une forme technique souple et légère.
En l’absence de projecteurs, des éclairages ponctuels pourront être envisagés.
Le lieu de représentation pourra être utilisé dans son aménagement habituel sans décor ni installation lourde.
Plusieurs formules sont possibles
* Lecture isolée selon date à préciser
* Plusieurs lectures programmées sur une période déterminée
* Lecture(s) pour public scolaire suivie(s) de rencontre(s)-débat.
Les conditions tarifaires seront décidées en fonction de la fréquentation envisagée et de l’importance du lieu d’accueil.
Contacts
Patrice Kahlhoven
Tél : 06 82 76 56 05
*** Sortie officielle à Lyon le 12 décembre 2015 *** Ce texte écrit entre Juillet 1981 et Avril 1982, donna lieu à un spectacle mis en scène par l’auteur et joué par la Compagnie Arcane-Théâtre dans la grande salle de l’Espace Verrière à Lyon. Il relate, en prenant des libertés avec l’histoire et la chronologie, les dernières années de règne d’un souverain joueur, provocateur et inconséquent... La reine et les pairs du royaume se rebellent. Les intérêts des camps opposés diffèrent, et l’on assiste à un déchaînement violent et sanglant dans lequel la férocité du pouvoir use des pires instincts. « Le monde a fait de moi une putain ; je ferai de ce monde un bordel ». Friedrich Dürrenmatt. ***
Edouard II d'Angleterre (v. 1284 - v. 1327)
Roi d'Angleterre (v. 1307 - 1327) Prince de Galles (v. 1301 - v. 1307) Duc d'Aquitaine (v. 1307 - ?) Famille : Plantagenêt
Fils de Edouard Ier d'Angleterre (v. 1239 - v. 1307) et de Eléonore de Castille (v. 1244 - v. 1290)
Il est couronné en l'abbaye de Westminster à Londres le 24 février 1308 par Henry Merewell (alias Woodlock), évêque de Winchester. Il s'entoure de deux favoris (Pierre de Gaveston, puis Hugues le Despenser) lesquels sont impopulaires auprès de toutes les classes sociales du royaume. Contrairement à son père, cruel avec ses ennemis mais sachant récompenser ses sujets fidèles, ce roi faible est détesté de toute la population. La révolte monte peu à peu, jusqu'au soulèvement général, mené par la reine Isabelle en 1326. Par la suite le roi est destitué, tondu et fait prisonnier par le parlement à Westminster Hall le 20 janvier 1327 après avoir dû remettre sa couronne et son sceptre aux envoyés du parlement le 13 janvier 1327. Hugues le Despenser est jugé, et exécuté. Le fils d'Edouard II et Isabelle est proclamé roi le 25 janvier 1327, sous le nom d'Edouard III.
Le gouvernement d'Isabelle et de son amant Roger Mortimer est si précaire, qu'ils ne veulent pas risquer de laisser le roi destitué dans les mains de leurs ennemis politiques. Le 3 Avril il est retiré de Kenilworth, et confié à la garde de deux fidèles de Mortimer. Emprisonné au chateau de Berkeley, dans le Gloucestershire, il est assassiné le 21 septembre 1327 à l’âge de 43 ans et inhumé dans le déambulatoire gauche de la cathédrale de Gloucester.
A la suite de la déclaration de la mort du roi, le règne d'Isabelle et de Mortimer ne dure pas longtemps. Mortimer et Isabelle font la paix avec les écossais avec le traité de Northampton, mais cette mesure est hautement impopulaire. Le 19 Mars 1330, le comte de Kent, frère d'Edouard II, est exécuté pour avoir fomenté la restauration de ce dernier. Il fut raconté que Mortimer lui avait soufflé de fausses informations sur le fait qu'Edouard soit toujours en vie, de manière à le piéger. Toutefois, l'exécution du comte par Mortimer le prive de son dernier appui. En conséquence, aussitôt qu'Edouard III est suffisamment agé, en 1330, il fait exécuter Mortimer pour plusieurs charges de trahison, la plus grave d'entre elles étant le meurtre d'Edouard II. Edouard III épargne sa mère Isabelle, et lui donne une pension généreuse, mais s'assure qu'elle se retire définitivement de la vie publique. Elle décède au château de Rising à Norfolk, le 23 Août 1358.
La rumeur a couru après sa mort, qu'Edouard II avait été tué par l'insertion d'une pièce de cuivre dans son anus (devenu plus tard un fer rougi au feu), supposée être la fin méritée d'un homosexuel. Cette méthode aurait le bénéfice de faire apparaître que le roi était décédé de mort naturelle: ceci, grâce au fait qu'un tube de métal aurait été inséré au préalable dans son rectum, permettant au fer rouge de pénétrer dans le corps sans laisser de marques de brûlure sur l'anus. Cette rumeur a été rapportée plus tard dans l'histoire, par Sir Thomas More (1478-1535) : "Dans la nuit du 11 octobre 1327, le roi reposant sur un lit fut soudainement agrippé, tandis qu'un grand matelas... le tinrent plaqué, un fer de plombier, chauffé au rouge, fut introduit dans ses parties secrètes de façon qu'il brûla des parties internes au delà des intestins".
Le 25 janvier 1308, il avait épousé Isabelle de France, à Boulogne-sur-Mer, fille du roi de France Philippe IV le Bel et de la reine de Navarre Jeanne Ire. Bien que le roi ait une réputation d'homosexuel, quatre enfants sont issus de cette union :
Si nous laissons des politiques cyniques alimenter, directement ou indirectement le terrorisme, nous nous laissons, alors, gagner par une irresponsabilité morbide.
Beaucoup n'osent s'exprimer - muselés disent-ils -...
Ils ignorent ce qu'est la vie, ce qu'est l' Histoire; par peur, sans doute.
Peur d'eux-mêmes.
Ils ignorent ce que veut dire Résistance.
*
"Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l’obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.
Et j’apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.
Et j’offrirai des motifs de joie là où il n’y a que tristesse.
J’inviterai à marcher celui qui a décidé de s’arrêter…
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés. »
(Abbé Pierre)
*** " Partager en silence, ne laisser aucune place à la haine, lutter contre la peur.
Et garder les mains, les yeux et le cœur grand-ouverts." ***
... humanisme pour l'humanité, simplement mais en conscience, les yeux grand-ouverts...
et oser agir pour que tous les salauds soient anéantis.
Ceux qui commettent d'immondes actes de barbarie, mais aussi ceux qui les arment, directement et indirectement.
Et... ces derniers sont nombreux chez nous.
Ils ne sont ni cachés ni voilés et s'expriment au grand jour drapés dans un cynisme absolu.
En France, à Paris, la violence de ce 13 Novembre 2015 ressemble à une guerre commencée il y a bien longtemps...
Des actes identiques, de barbarie, ont eu lieu quelques jours avant à Beyrouth au Liban, à Sousse en Tunisie, et tous les jours, au Moyen-Orient.
Spectateurs passifs installés confortablement devant nos écrans de télé - ordinateurs - téléphones, nous assistions... au spectacle...
le regard vide.
Et là, subitement, la barbarie s'impose à nous.
La même barbarie, que celle infligée à tous les réfugiés en exode à travers l'Europe, à travers le monde.
Celle qui pousse en ce moment des humains à fuir, désespérément.
L' exode et les exilés ne sont pas la cause des attentats, mais la conséquence.
Que toutes celles et ceux, prompts à tirer des conclusions hâtives, se taisent.
Un séisme commence à se former - un de plus et non pas des moindres - constitué de bêtise, de parti-pris individualiste, de racisme, de ce qu'il y a de plus noir et de plus abject en l'homme.
Alors, que toutes celles et ceux qui veulent se prendre par la main ne perdent pas un temps fragile à réfléchir, à gloser, à tergiverser.
Oui, l'union fait la force, et elle porte le beau nom de Fraternité.
Celle qui rassemble et associe toutes les différences, les couleurs de peau, les croyances et les religions.
Celle qui est la clé de voute d'une véritable et nécessaire culture universelle.
Celle qui évite d'être con.
La dernière grimace
A partir de Janvier 2015, Patrice Kahlhoven promènera en tournée
le texte de Jacques Bruyas « La dernière grimace ».
L’histoire
est celle de Smesny, clown génial qui mourut en compagnie de 480 enfants internés dans le camp de Terezin, puis exterminés à Auschwitz la veille même de la libération du camp par les forces alliées.
Les responsables, pour un dernier baroud de I’ horreur, exécutèrent pratiquement tous les enfants encore internés dans les baraquements de bois du campement .
Smesny mourut sans savoir que ses propres enfants avaient été exécutés avec plusieurs milliers d’autres enfants, juifs, tziganes...
A-t-il tenu un journal, nul ne le sut jamais .
Puisse ce texte rendre compte des souffrances d’un homme
qui un jour pleura en une ultime grimace.
L’ auteur
« La dernière grimace » de Jacques Bruyas est un texte théâtral au parcours singulier.
Ecrite lors d’un voyage de l’auteur en ce qui était encore la Tchécoslovaquie, cette pièce monologuée est née lors d’une visite marquante en les ruines conservées du camp de déportation de Térézin , près de Prague.
Aussitôt traduit en tchèque ce texte est alors mis en scène par J.Knittl auquel ont succédé une dizaine de metteur en scène et en espace et a connu depuis le premier comédien Josef Kundrâ diverses interprétations pour arriver en avril 2013 par fêter ses trente ans de programmation (six jours par semaine) en le petit théâtre « Smesny » de Prague.
Traduite en dix-huit langues aussi étonnantes que le « romani » (langue des tziganes) le bambara ou le créole , cette terrible histoire ne peut laisser quiconque indifférent.
« La dernière grimace » valut à son auteur nombre de reconnaissances publiques et officielles dont le « stylo d’or » tchèque remis en mains propres à Jacques Bruyas par Vaclav Havel.
Le comédien
Patrice Kahlhoven né à Paris en 1948, vit enfance et adolescence au Sénégal.
Dès l’âge de 7 ans, le Théâtre devient sa passion , et ce, encouragé par de nombreux membres de sa famille paternelle, artistes éclectiques.
Jean Vilar et son Avare de Molière furent les déclencheurs majeurs.
A 8 ans, premier rôle au Cinéma puis apprentissage professionnel au Sénégal tout d’abord aux côtés de Robert Fontaine , puis en France.
Ensuite les engagements débutés chez Roger Planchon en 1968, puis chez Marcel Maréchal et Jean Meyer, se multiplient.
Direction de compagnies, travail d’auteur-adaptateur, de metteur-en-scène, et de pédagogue, sont autant d’activités menées parallèlement à une carrière consacrée au Spectacle vivant.
« En 2012, Jacques Bruyas, auteur prolifique dans le monde du Théâtre entre autre,
me propose un texte écrit à partir de ma vie – l’Afrique, la scène, et l’engagement artistique en sont la structure -.
Le Gecko est né et n’attend plus que quelques ajouts dramaturgiques.
Dans le même temps, l’auteur me propose de me pencher sur l’un de ses textes : Terre d’ébène.
Dès la première lecture je ressens d’intimes résonances.
Albert Londres décrivant le colonialisme outremer provoque la résurgence de souvenirs africains.
Moments vécus durant la période coloniale de mon enfance mais aussi la vague de l’Indépendance, et l’après...
Bienfaits et nuisances sont entremêlés.
Beau sujet pour un Théâtre en vie et témoin de son temps.
Et, en 2013, nouvelle proposition.
La dernière grimace me bouleverse et me saute à l’âme.
Alors que notre société renouvelle commémorations et appels au souvenir, les faits déversent en permanence le contraire de ce que le devoir moral nous impose.
Au-delà du simple élément virtuel – alors que les déclarations s’envolent au gré du vent – la parole, sans concession, est nécessaire.
Dans une forme théâtralisée d’une grande sobriété, l’interprétation-témoignage « La dernière grimace » sera proposée à plus d’une centaine de musées de la Résistance et de la Déportation en France, ainsi qu’à de nombreux lieux européens de culture et de mémoire dès Janvier 2015.
Le caractère pédagogique de l’entreprise nous semble, aujourd’hui encore, nécessaire, afin de perpétuer chez les jeunes le souvenir des souffrances et des sacrifices des héros et martyrs de la Résistance.
Transmettre des valeurs qui se rattachent aux droits de l'Homme et aux principes de la démocratie
Susciter un esprit de tolérance et une démarche de solidarité
Préparer à la vie de citoyen
Rapprocher les générations
tel est le fondement de notre éthique.
Patrice Kahlhoven jouera seul « La dernière grimace » de Jacques Bruyas dans une forme technique souple et légère.
En l’absence de projecteurs, des éclairages ponctuels pourront être envisagés.
Le lieu de représentation pourra être utilisé sans décor ni artifice et ce, dans son aménagement habituel.
Plusieurs formules sont possibles
* Lecture isolée selon date à préciser
* Plusieurs lectures programmées sur une période déterminée
* Lecture(s) publique(s) pour public scolaire suivie(s) de rencontre(s)-débat.
Les conditions tarifaires seront décidées en fonction de la fréquentation envisagée.
Contacts: Patrice Kahlhoven
Tél : 06 82 76 56 05 * kahlhovenp@orange.fr
Quelques moments
Spectacles
ARTISTE - INTERPRÈTE AU THÉÂTRE
dès 1965, sous les directions notamment de:
Robert FONTAINE, Bernard PEZAT, Michèle AUBERT, Roger PLANCHON, Manuel-Vidal ARRIAS, Jean MEYER, Jean-Roger TANDOU, GRENIER & HUSSENOT, Maurice YENDT & Michel DIEUAIDE, Marcel MARECHAL, Michel BEATRIX, François BOURGEAT,Jean-Louis PICHON, Alain TERRAT & Jacques MORNAS,Jean-Paul LUCET, Bruno BOEGLIN...
AUTEURS JOUÉS
ARRIAS, ARROUT, BEATRIX, BECKETT, CALDERON, CAMUS, CHAWAFF, CORNEILLE, ELLIOT, FEYDEAU, FOISSY, GIONO, GIRAUDOUX, HUGO, IONESCO, KADARE, LABICHE, MAETERLINCK, MAIMONE, MARIVAUX, MENDES, MISHIMA, MOLIERE, MONTHERLAND,MUSSET, OBALDIA, MEILHAC & HALEVY, PASOLINI, PINTER, PLANCHON,RACINE, ROSTAND, SHAKESPEARE, SCHEHADE, St-J.PERSE, STRINDBERG, TCHEKOV...
A partir du 3 Septembre 2017, en tournée France et pays francophones, lecture théâtralisée du reportage de Albert Londres.
TERRE D'ÉBÈNE
Auparavant
LE PRIX MARTIN
Pièce d' Eugène Labiche
Mise en scène: Bruno Boëglin
Rôle: Agénor
Coproductions:
Théâtre des Célestins - Lyon, TNP - Villeurbanne,
Espace André Malraux - Scène Nationale - Chambéry - Savoie,
Le Théâtre du désordre des esprits - Compagnie bruno Boëglin - Lyon
SUR LA GRAND-ROUTE
Anton TCHEKOV.Mise-en-Scène: Bruno BOEGLIN.
Productions:
THEATRE NATIONAL DE L'ODEON-THEATRE DE L'EUROPE ( PARIS )
TNP ( VILLEURBANNE )
NOVO-THEATRE ( LYON ).
ARIANE
Opéra de Jules MASSENET. Livret de Catulle MENDES.
Mise-en-Scène: Jean-Louis PICHON.
9ème BIENNALE INTERNATIONALE MASSENET.
OPERA-THEATRE de SAINT-ETIENNE ( FRANCE ).
PASSION SELON KASPAR
Texte personnel d'après PASOLINI & Peter HANDKE.
Mise-en-Scène, Scénographie & Jeu.
Création 2, en Tournée Internationale.
ARTISTE - INTERPRÈTE AU CINÉMA
dirigé notamment par:
Robert ENRICO (LM), Didier OZIL (CM), Bertrand BLIER (LM),
Stéphane CLAVIER (LM)...
ARTISTE - INTERPRÈTE A LA TÉLÉVISION
dirigé notamment par:
Jean-Pierre DECOURT, Philippe ROUSSEL, Thierry CHABERT,
Jean-Marc SEBAN...
et, en Avril 2008 par Fabrice GENESTAL:
UNE ENFANCE VOLEE - L' AFFAIRE FINALY.
LIZLAND FILMS PRODUCTIONS pour FRANCE 2.
CE FAUST. D'après MARLOWE & GOETHE.
ESCURIAL. Michel de GHELDERODE.
SOLEILS NOIRS. D'après l'oeuvre d'August STRINDBERG.
L'IMPROMPTU DE VERSAILLES & GEORGES DANDIN. MOLIERE.
NO CONTEMPORAIN. Yukio MISHIMA.
PASSION SELON KASPAR.
D'après Pier-Paolo PASOLINI & Peter HANDKE. Création 1
SCENES CRUELLES ET LIBERTINES DE LA VIE DE MARIANNE.
D'après Alfred de MUSSET.
AGHATA. Marguerite DURAS.
HAUTE SURVEILLANCE. Jean GENET.
PASSION SELON KASPAR. Création 2.
AUTEUR DRAMATIQUE
TERRE ENTIÈRE.
CHASSEURS DE RUINES.
CE FAUST.
SOLEILS NOIRS.
PASSION SELON KASPAR.
LES HYÈNES. Édition 2015.
LA COMTESSE KAGEYAMA.
FORMATEUR
Enseignant & Pédagogue:
CONSERVATOIRE NATIONAL D'ART DRAMATIQUE DE LYON ( FRANCE )
ACTING STUDIO
LA SCENE-SUR-SAONE
L'ACTEUR ( Cours Isabelle SADOYAN )
L'ACTEUR-ENJEUX
Maître de Stages Professionnels Conventionnés.
Fondateur ( avec Michel BEATRIX ) & Directeur Artistique de la COMPAGNIE ARCANE-THÉÂTRE.
Fondateur & Directeur Artistique d' ACTEUR-ENJEUX / LA COMPAGNIE.
1964 - 1967:
ECOLE NATIONALE DES ARTS - DAKAR ( SENEGAL ).
1967 - 1971:
CONSERVATOIRE NATIONAL D'ART DRAMATIQUE - LYON ( FRANCE ).
3 Premiers Prix à l' Unanimité:
Tragédie, Comédie Classique, Théâtre Contemporain.
1ère Médaille de Diction.
Né le 3 Janvier 1948 à PARIS ( FRANCE )
1m84 - 90 kgs - Cheveux rasés - Yeux Verts.
Mobile: 33 (0) 6 82 76 56 05
Tél: 33 (0) 4 77 63 50 81
Email: kahlhovenp@orange.fr
Site: https://www.facebook.com/patrice.kahlhoven
Noémie BIANCO, nourrie du sang d'une grande famille d'artistes confirmés dans leur éclectisme au Théâtre, offre au public une interprétation sensible, profonde et délicate, de Maria Callas, devenue personnage sous la plume d'un auteur dramatique s' appuyant sur des extraits d'interviews de la grande chanteuse lyrique.
Les spectateurs sont placés dans la situation d'une assemblée de journalistes, à laquelle la diva et la femme livrent des moments de leurs vies.
Moments de réflexions sur le travail, l' art, la difficulté d'être, la fragilité, la force et la grandeur de l' artiste-interprète.
La jeune comédienne, guidée par un metteur en scène sobre, efficace, délicat et affectueux, est animée par une grâce et une présence naturelles sensibles.
L' acte artistique est parfaitement réalisé, avec une simplicité mêlée d'audace, de rareté , de subtilité, d' humilité, et dans le grand respect du modèle.
Maria Callas est servie, respectée, sublimée par la jeunesse de son interprète.
L' émotion dégagée, l'émotion ressentie, l'émotion partagée, est forte, douce, légère, bienfaisante.
Sans maniérisme ni pathos, la diva est femme.
Noémie Bianco, en un salut final dénué de tout faux-semblant, nous remercie de l'avoir écoutée.
La communion est réalisée.
Une véritable artiste, une belle comédienne se manifeste.
Une étoile grandit et resplendit.
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